La Fédération Internationale des Coneillers Exécutifs d'Etats rassemble tous les Conseillers Exécutifs d'Etats en formation, en exercice ou retraités. Elle leur offre un cadre propice pour conduire des réflexions, animer des débats et mener des actions corporatistes destinées à renforcer la cohésion au sein de ce corps et à valoriser leur vie professionnelle et personnelle.
La FICEE tient une université d'été dont elle fixe la périodicité et le programme, et organise différentes manifestations pour ses membres dans le monde entier.
Elle peut faire des préconisations à la CHAPICEE en vue d'améliorer le régime statutaire, les conditions de formation et d'exercice des Conseillers Exécutifs d'Etats.
La FICEE est structurée autour des sections nationales afin de porter ses actions au plus près de ses membres dans différents pays où ils résident et interviennent.
La FICEE anime également plusieurs chantiers importants sur le plan international, notamment sur le front de la moralisation des pratiques financières entre Etats, particulièrement en ce qui concerne la question de la dette publique internationale. Elle s'investit ainsi en vue de l'adoption de la Première Convention Multilatérale sur le Droit des Emprunts Publics Internationaux. Dans ce cadre particulier, elle soutient la création d'une Juridiction Financière Internationale qui se chargerait du contentieux financier international. Elle participe enfin activement à la mise en place et au fonctionnement de l'initiative SIDEINE mise en place par le Cabinet GRATHON pour assurer la réduction des engagements extérieurs des Etats.
L'ORGANISATION DE LA FICEE
La FICEE élit un bureau pour un mandat de 4 ans renouvelable. Les premières consultations en vue de la désignation par voie élective des membres du Bureau de la FICEE auront lieu en 2024. Un Bureau provisoire est mis en place et fonctionne sous la magistrature morale d'un Doyen Honoraire qui est le Conseiller Exécutif d'Etats le plus ancien.
LE DOYEN HONORAIRE DE LA FEDERATION
Archi-Maître Antiste, Chancelier Ordinal
Sylvestre PIAM, PhD Law
Jurisconsulte Financier International
Emeritus Sovereign Financial Advisor
LE PRESIDENT DE LA FEDERATION
Archi-Maître Chevronné
Jacques NTOGUE, DBA Dauphine
Economiste Energéticien - Banquier International
Conseiller Exécutif d'Etats
PREMIER VICE-PRESIDENT DE LA FEDERATION
Archi-Maître Principal
Baudry AMOUYA
Conseil Financier
Sovereign Financial Advisor
DEUXIEME VICE-PRESIDENT DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirant
Anouar FRIAA
Expert Télécoms-Réseaux
Conseiller Exécutif Stagiaire
LE SECRETAIRE GENERAL DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirant
Sacha GUILLOU
Banquier Privé
Conseiller Exécutif Stagiaire
LE SECRETAIRE GENERAL ADJOINT DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirante
Emma GOLDSMITH
Experte en Communication Internationale et Relations Internationales
Conseiller Exécutif Stagiaire
LE TRESORIER DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirant
Augustin GNIE FOKOUA
Expert en Systèmes de Santé et Protection Sociale
Conseiller Exécutif Stagiaire
LE TRESORIER ADJOINT DE LA FEDERATION
Archi-Maître Principal
Rémy MAKABU
Inspecteur Budgétaire - Expert Gestion Recettes Fiscales
Sovereign Financial Advisor
PREMIER COMMISSAIRE AUX COMPTES DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirant
François ENJAGO PASSEMA
Ancien Directeur de Services Administratifs - Expert en Management Public
Conseiller Exécutif Stagiaire
DEUXIEME COMMISSAIRE AUX COMPTES DE LA FEDERATION
Archi-Maître Aspirant
Liliane ATEBA NGOMPE MEKAM
Master Droit - Experte RH
Conseiller Exécutif Stagiaire
LE PROJET DE CONVENTION MULTILATERALE SUR LE DROIT DES EMPRUNTS PUBLICS INTERNATIONAUX
Ce projet conçu par M. Sylvestre PIAM et promu par la FICEE ambitionne de révolutionner la pratique des protocoles financiers internationaux générateurs de dette. L'enjeu majeur, au regard de l'impact de la dette sur les générations futures des pays du Sud notamment consistera à rompre l'opacité qui caractérise la négociation et la signature des conventions de prêts bénéficiant aux Etats.
Il s'agira notamment d'astreindre les protagonistes à publier les projets de prêt et surtout à rapporter la preuve que l'engagement du gouvernement a été précédé sur le plan national d'un débat public sur le bienfondé du prêt, et que le gouvernement a été dûment habilité à contracter le prêt.
Il s'agit de mettre un terme aux collusions entre oligarchies politiques des pays prêteurs et des pays emprunteurs et qui, comme on le sait, sont génératrices de "dettes odieuses" que les pays sont néanmoins tenus de rembourser. Ainsi, l'idée chemine dans cette convention qu'en cas de non respect des exigeances de transparence, un Etat puisse refuser de rembourser une dette à la suite d'une succession de gouvernement et que ce refus ne puisse pas être de nature à engager la responsabilité internationale de cet Etat.
Télécharger le projet de Traité sur les emprunts publics internationaux (Accès Réservé)
LA FUTURE COUR INTERNATIONALE DES COMPTES PUBLICS ET DU CONTENTIEUX FINANCIER D'ETATS
La création de la CICCOFE est un challenge générationnel majeur car on se pose toujours la question de savoir pourquoi à Bretton-Woods (USA) les Etats réunis après guerre n'ont pas jugé nécessaire de créer une juridiction financière internationale. A supposer que les enjeux financiers à ce moment là n'aient pas été jugés porteurs de contentieux potentiels, les années 50 à 2000 ont été ponctuées par d'importantes crises financières aussi bien bilatérales qu'internationales nécessaitant un activisme sans précédent de la diplomatie financière. Dans de telles conditions, il aurait été souhaitable qu'une telle juridiction internationale s'interposât.
Une telle innovation institutionnelle semble aujourd'hui inéluctable au regard de la profusion des contentieux financiers internationaux dont une importante partie s'articule autour de la dette souveraine, et une autre, très médiatisée bien que beaucoup moins importante s'articule autour des biens mal acquis ou des fonds issus de dépôts illégitimes susceptibles de faire l'objet de mesures de gels.
Il paraît impérieux qu'un ordre de juridiction international spécifique soit mis sur pieds pour connaître de tous ces litiges qui ne sont pas nativement de la compétence de la Cour Internationale de Justice déjà bien occupée par les contentieux juridiques internationaux.
Il faut également ajouter que le principe de la neutralité juridictionnelle devrait pouvoir s'appliquer dans les organisations internationales, et notamment les institutions financières internationales qui sont généralement à la fois juges et parties dans les contentieux multiples qui parfois les opposent à leurs membres.
Enfin, les oppositions irréductibles entre créanciers publics ou privés et emprunteurs souverains aussi bien au sein du Club de Londres qu'au sein du Club de Paris mériteraient parfois que l'expertise d'une juridiction financière internationale soit sollicitée pour mieux établir les lignes de démarcation entre l'esprit du droit et des libertés des peuples souverains et les contraintes conventionnelles entre gouvernements emprunteurs plus ou moins emprunts de probité et fonds plus ou moins éthiques.
La première cuvée du Granthon International Institute of State Finance Education (GIISFED)
De gauche à droit : Le Chancelier Ordinal, l'Archi-Maître Antiste Sylvestre PIAM; l'Archi-Maître Principal Jeune Chevron Laurence BAILLIF, Directrice Générale du Cabinet GRANTHON; Docteur Mannuela SUNJIO-PIAM, Membre du Jury, Vice-Présidente du Conseil d'Administration du Cabinet GRANTHON; l'Archi-Maître Principal Jeune Chevron Carole HAPPI, Major de promotion, General Counsel du Cabinet GRANTHON et Secrétaire Générale du Conseil de l'Ordre; l'Archi-Maître Principal Hilaire DJOMO, Managing Director chez GRANTHON, Directeur de la Communication et de la Formation, Secrétaire Général Adjoint du Conseil de l'Ordre; Monsieur le Professeur Chicot EBOUE, Ancien Vice-Président de l'Université de Lorraine, Président du Jury; l'Archi-Maître Principal Eric GODBILLE, Managing Director chez GRANTHON, Directeur Régional Afrique Centrale CEEAC, Secrétaire Général du Conseil d'Administration du Cabinet GRANTHON; l'Archi-Maître Ch. Lambert SONNA-MOMO, Président du Bureau Exécutif de la CHAPICEE, membre du Jury; l'Archi-Maître Principal Jeune Chevron Chrislain BEN NDJEL, Managing Director chez GRANTHON, Directeur Financier et Vice-Président du Conseil de l'Ordre; l'Archi-Maître Principal Johany ADIABOUAH, Managing Director chez GRANTHON, Directeur du Département Afrique du Cabinet GRANTHON; l'Archi-Maître Ch. Simon Pierre TSHIMANGA KENGO, Directeur Adjoint du Bureau du Conseil d'Administration du Cabinet GRANTHON, Membre du Jury; le Très Honorable Martin CHUNGONG, Secrétaire Général de l'Union Interparlementaire, Parrain de la Cohorte 1.
Le Très Honorable Martin CHUNGONG, Secrétaire Général de l'Union Interpalementaire et Parrain de la Cohorte 01 lors de son allocution.
Le Président du Jury félicite l'Archi-Maître Principal Carole HAPPI, Major de promotion, Premier Jeune Chevron
Les tout nouveaux Conseillers Exécutifs d'Etats rassemblés autour de leur Parrain
Le Chancelier Ordinal et une vue du Jury
L'Archi-Maître Principal Johany ADIABOUAH prononce son serment de Conseiller Exécutif d'Etats.
L'Archi-Maître Principal Hilaire DJOMO prononce son serment de Conseiller Exécutif d'Etats.